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« Miss Peregrine et les enfants particuliers », la surprise signée Burton

9 octobre 2016

La mauvaise blogueuse que je suis a complètement oublié de vous parler du nouveau Tim Burton, « Miss Peregrine et les enfants particuliers ».

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Je dois être honnête avec vous, à la base je ne suis pas une grande fan de Tim Burton, mais alors pas du tout. Le dernier long métrage du réalisateur que j’avais vu en entier était L’Étrange Noël de Monsieur Jack donc bon… Mais là, avec Eva Green sur l’affiche je me devais de me déplacer jusqu’à la salle de ciné !

Le synopsis est celui-ci :
« À la mort de son grand-père, Jacob découvre les indices et l’existence d’un monde mystérieux qui le mène dans un lieu magique : la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers.
Mais le mystère et le danger s’amplifient quand il apprend à connaître les résidents, leurs étranges pouvoirs … et leurs puissants ennemis.
Finalement, Jacob découvre que seule sa propre « particularité » peut sauver ses nouveaux amis. »

Je ne vais rentrer dans 2000 détails j’aurais vraiment peur de casser la magie du film.

Côté comédiens, le trio Asa Butterfield (le rôle principal), Ella Purnell et Eva Green fonctionne à merveille. Chacun  d’eux possède une vraie « gueule », c’est ça que j’ai aimé dans ce film. Une esthétique très travaillée, mais avec des comédiens qui ne correspondent pas aux codes de beauté habituels, mais pourtant, arrivent à illuminer l’écran. La beauté de l’imperfection, et adepte ou pas de Tim Burton, on peut le félicité d’arriver à générer cela comme personne !

Et puis ajoutez à cela le fait qu’ils jouent tous plutôt bien et ça fait que tu aimes bien ce que tu vois à l’écran. Et c’est un peu le but quand tu vas au ciné, non ?

En plus de ces trois comédiens de talent, vous pouvez ajouter un Samuel L. Jackson complètement barré, une Judi Dench qui ne gronde plus Daniel Craig, mais campe un rôle tellement doux ou encore un Terence Stamp qui incarne le grand-père le plus cool de la galaxie. De tout ça, vous obtenez une distribution qui se marie parfaitement.

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Tout est travaillé, du jeu, au maquillage, aux décors, à la photo, tout… Au point, où on tu te retrouve tellement t’emporté dans un monde particulier que t’en reconnais pas Rupert Everett. Bon et puis surtout tu te mets à croire que le temps peut être figé.

Côté histoire, au départ, ça semble un tantinet fouillis, on se demande où va vouloir aller Tim Burton. Puis, d’un coup de baguette magique, tu comprends qu’on ne va pas juste te raconter un truc sur des pouvoirs magiques, non, ça va plus loin. Par ses petits jeux de passe-passe, Tim Burton commence à faire naitre des questions chez toi, à base de « et si… », « jusqu’où peut-on aller par amour » … et autres que je ne pourrais pas vous formuler sans vous spoiler le film et ça serait vraiment dommage.

Alors, certes, tout n’est pas parfait, mais essayez vraiment de vous laisser porter par le film au rythme des violons de la BO.

Je ne vous dirai pas que c’est le film de l’année, mais il mérite qu’on se déplace, vous passerez un moment qui vous fera quitter un peu votre comédien et réchauffera votre petit coeur.

Et en sortant du ciné, n’hésitez pas à me dire quel jour vous seriez prêt à vivre en boucle 🙂

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1 Commentaire

  • Répondre nath 10 octobre 2016 à 7 h 43 min

    il faut lire les livres aussi, j’ai pas encore vu le film mais les bouquins valent le coup

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